1. La puissance

En termes de souffleur, la puissance du moteur est un élément important à considérer. Sachez que la puissance définit la performance de l’appareil. Pour un modèle thermique, celle-ci est exprimée en centimètre cube (cm³). Elle peut aller de 25 cm³ à 70 cm³ pour les versions professionnelles. Cela correspond à 300 watts jusqu’à 3 000 watts.

Plus le moteur est gros, plus votre souffleur est performant. Cependant, il n’est pas toujours nécessaire de vous tourner vers les modèles les plus puissants. Tenez surtout compte de la surface de votre jardin et de la fréquence d’utilisation. Cliquez ici pour en savoir davantage.

2. Le volume sonore

Il faut savoir que les souffleurs thermiques sont beaucoup plus bruyants que les versions électriques. Certains modèles peuvent générer jusqu’à plus de 100 décibels. Jusqu’à présent, les fabricants n’ont pas encore de solution à cette problématique. Voilà pourquoi, lorsque vous choisissez votre souffleur thermique, considérer le volume sonore est important.

Il existe, en effet, des modèles moins bruyants que d’autres, comme le souffleur thermique à quatre temps. Ce dernier produit moins de bruit que la version à deux temps. Aussi, lors de l’achat de votre appareil, n’hésitez pas à prendre un casque anti-bruit. Il pourra vous servir lors de l’opération.

3. Les options

Actuellement, il existe plusieurs modèles de souffleurs thermiques sur le marché. Le mieux est d’opter pour un appareil qui offre le plus d’options possibles. Par exemple, il y a des modèles qui proposent un système de démarrage facile (starter automatique ou démarrage électronique). Ainsi, vous n’aurez pas à fournir d’effort en tirant sur un lanceur.

Certains souffleurs ont aussi un système anti-vibration pour vous épargner la pénible gêne lors de l’utilisation. D’autres ont le régulateur de puissance, l’interrupteur pour basculer facilement d’un mode à l’autre, des roulettes fixées sur le bout du tube, etc.

4. Le type de souffleur

Bien que les souffleurs thermiques aient un faible poids, ils peuvent toujours vous fatiguer, surtout avec les modèles à mains. Voilà pourquoi, il est préférable de considérer le type de souffleur. Les modèles thermiques dorsaux sont les plus préconisés. Ils vous demandent moins d’effort et sont plus pratiques. Comme leur nom l’indique, ils se portent sur le dos comme un cartable. Le dossier peut s’adapter à n’importe quelle morphologie et vous pouvez ajuster le harnais en fonction de votre taille.

5. Le type d’alimentation

A noter que le type d’alimentation n’est pas le même pour tous les souffleurs thermiques. Il y en a qui ont besoin d’un mélange d’huile et d’essence pour fonctionner. D’autres fonctionnent sans problème avec seulement de l’essence. Le mieux est d’opter pour un appareil qui ne vous demande pas beaucoup de travail, c’est-à-dire un souffleur thermique à essence. De cette manière, vous gagnez du temps et de l’énergie. Avec un dispositif qui nécessite un mélange, vous serez encore contraint de respecter certains dosages et d’acheter deux produits à la fois.

Étudiez l’étendue du projet

Cette évaluation préalable vous permet d’avoir une idée approximative du devis que vous recevrez. Il n’y aura donc pas trop de mauvaises surprises. Ceci étant, pensez toujours à faire plusieurs demandes de devis.

Pour avoir une idée claire de la portée de votre projet, mettez tout par écrit. Mentionner dans vos notes des éléments importants comme :

– Le calendrier des travaux : cette partie vous donne une idée de la durée du projet de rénovation. Pour cela, mentionnez clairement la date de début et d’achèvement des travaux. Dans cette partie, intégrez toujours une marge de manœuvre en tenant compte des imprévus.

– Le calendrier de paiement : cette partie montrera la fréquence à laquelle vous devez payer le prestataire. Vous avez un certain avantage dans la mesure où vous pouvez négocier sur le paiement en fonction des travaux achevés et du respect du calendrier.

– Les éventuels travaux supplémentaires : Les travaux de rénovation ont souvent des imprévus. Par exemple, la simple rénovation de plancher peut entraîner d’autres travaux qui n’ont pas été prévus. Pour bénéficier de ce type de service, veillez à ce que toute possibilité de modification soit mentionnée par écrit. Le prestataire doit y apposer les coûts et les délais des travaux.

Lorsque vous entamez un tel projet, veillez toujours à tout garder par écrit pour éviter les mauvaises surprises et les malentendus.

Les signaux d’alarme

Lorsque vous faites une estimation des travaux de rénovation, méfiez-vous de certains signes avant-coureurs d’une absence de fiabilité du prestataire.

Un prix très bas

Les travaux de rénovation et les prestations y afférentes ont des prix moyens compris dans une fourchette. Si le prestataire vous facture des coûts très bas, il faudra vous en méfier. Cela peut refléter une certaine inexpérience ou des pratiques frauduleuses. Cette dernière est répandue dans le domaine de la rénovation énergétique. Pour évaluer vos travaux de rénovation, voyez les prix moyens sur le marché. Ce dernier ne doit pas être excessivement bas ou très élevé par rapport aux tarifs indicatifs.

Pas d’arbitrage contraignant

Au tout début de votre projet, convenez de la manière dont vous allez résoudre les éventuels litiges ou désaccords. Cette clause est importante. Son intégration témoigne de la bonne foi de chaque partie.

L’absence de permis de travail

Un entrepreneur sérieux doit posséder un permis de travail. De plus, il doit être titulaire de certaines certifications et labels qui attestent de son savoir-faire et de ses compétences.

Pour évaluer les travaux de rénovation que vous allez faire, vous devez avoir d’autres éléments en tête :

– la superficie à rénover et l’envergure des travaux à faire ;
– le type de travaux de rénovation (intérieure ou extérieure) ;
– les aides financières accordées par l’Etat.

Qu’est-ce qu’une porte blindée ?

De nos jours, les serrures ne suffisent plus pour empêcher les cambrioleurs de pénétrer dans une habitation. Ils savent comment faire pour casser les serrures ou les ouvrir en toute facilité. Par ailleurs, vous devez noter que la majorité des voleurs passent par la porte d’entrée pour entrer chez les gens et rarement à travers les fenêtres. De ce fait, une porte blindée est absolument indispensable pour garantir la sécurité de votre maison et tous les habitants. Pour votre information, une porte qui n’est pas blindée peut être fracturée sans difficultés, d’où l’intérêt du blindage. Ainsi, si vous envisager de renforcer la sécurité de votre maison, vous devez absolument passer par le blindage de votre porte d’entrée. Pour ce faire, deux solutions s’offrent à vous :
• Blinder la porte existante
• Installer ce qu’on appelle « bloc-porte blindé »

Opter pour l’installation du bloc-porte blindé

C’est la meilleure des solutions à adopter pour plus de sécurité, on dit même que c’est la vraie porte blindée. Il s’agit d’un système bien plus complet et plus fiable. La porte existante est définitivement remplacée par ce bloc-porte blindé qui semble bien plus sécurisante. Le bloc-porte blindé se compose de trois éléments fondamentaux dont :
• Le blindage : c’est l’élément principal de la porte réalisé en acier d’une épaisseur importante, située entre 20/10e et 25/10e. Ce blindage est intégré au niveau du vantail de la porte. Il est entièrement stable sachant qu’il est encre renforcé par des plaques d’acier de faible épaisseur. De plus, il subit aussi un traitement contre la corrosion. Les paumelles de la porte sont bien sélectionnées afin d’être plus résistantes, elles doivent être solides pour supporter tout le poids du blindage intégré sur le vantail.
• La serrure : celle utilisée sur le bloc-porte blindé est plus résistante à l’effraction. Elle comporte plusieurs points de fermeture allant de 3, 5 à 7. En général, ce sont les portes de taille plutôt imposante qui sont équipées d’une serrure de 7 points de fermeture. Celles qu’on retrouve souvent sur les locaux commerciaux ou industriels. Les différents points de fermeture sont répartis sur la porte de la manière suivante : sur la partie inférieure et la partie supérieure. Parfois, on peut en trouver sur la partie latérale. Il existe deux différentes poses de la serrure pour un bloc-porte blindé : soit en applique, plus apparente; soit encastré, plus dissimulée.
• Le bâti : cette partie est aussi blindée et vient se poser sur le précédent dormant et au niveau de la maçonnerie. Pour rappel, il s’agit de la partie fixe d’une porte. L’acier utilisé sur le bâti est le même que celui du blindage du vantail.
Le bloc-porte blindée existe en dimensions standards mais vous pouvez aussi personnaliser votre porte et demander du sur-mesure. Il peut comporter un ou deux vantaux, c’est à vous de choisir. Ce type de porte peut d’ailleurs avoir plusieurs caractéristiques supplémentaires : coupe-feu, excellente isolation thermique et phonique, meilleure étanchéité à l’eau et à l’air. On peut aussi choisir entre différents types d’habillage, les couleurs sont toute aussi variées pour vous permettre d’harmoniser la porte avec votre décoration intérieure. Certes, le bloc-porte blindé est un système efficace pour sécuriser la porte, seulement n’oubliez pas que cela demande plus de travaux. Cela demande une étude préalable des lieux, le mieux c’est de faire appel à un professionnel.
L’essentiel est d’opter pour un bloc-porte blindé certifié : c’est la garantie de sa qualité et sa résistance contre l’effraction. Il s’agit de la certification du CNPP ou Centre National de Prévention et de Protection. Ainsi, on peut trouver sur le commerce des bloc-portes avec des symboles : A2P BP1, A2P BP2 et A2P BP3. L’A2P BP3 est le plus sécurisant des trois. Cette certification a une durée de 6 ans, pour l’obtenir, il faut que la porte ait été soumise à des contrôles spécifiques.

Opter pour le blindage de porte

Le principe du blindage de porte est de blinder la porte qui se trouve déjà à l’entrée de votre habitation. C’est la solution qui s’offre à vous quand vous êtes obligé de conserver l’ancienne porte car vous n’avez pas l’autorisation d’en changer la façade : le cas lorsque vus habitez en copropriété. Cette solution est aussi idéale si vous avez tout simplement envie de garder votre porte. Qui plus est, cette solution est largement moins chère que le bloc porte-blindé et demande moins de travaux à réaliser. En effet, on ne touche pas à la maçonnerie comme c’est le cas avec l’autre option. Grâce au blindage de porte, vous profitez d’une excellente isolation non seulement phonique mais aussi acoustique et le confort est bien au rendez-vous. Côté esthétique, le choix est aussi large puisqu’il possible de vitrer votre porte blindée. Il existe des vitrages anti-effraction particulièrement résistants aux tentatives des cambrioleurs. Vous pouvez choisir entre un modèle comportant un ou deux vantaux en fonction de vos envies.
En ce qui concerne le blindage de la porte, les professionnels utilisent de la tôle spéciale blindage renforcée par une serrure anti-effraction plutôt fiable. La porte elle-même est blindée tout comme la huisserie de manière à les rendre plus résistantes à toute tentative de cambriolage. L’huisserie devient une sorte d’encadrement en métal, plus solide et plus sécurisant. Les paumelles sont ensuite accolées au bâti afin de mieux supporter le poids de la porte et faciliter le pivotement de celle-ci. La gâche, elle aussi sera intégrée au dormant pour qu’elle puisse résister à toute tentative d’arrachage par les cambrioleurs ou les personnes malintentionnées. Enfin, pour que les voleurs ne puissent pas soulever la porte, le tout est protégé par une barre de seuil entièrement soudée. Tout comme le bloc-porte, la porte blindée peut aussi être certifiée après contrôle (trois niveaux numérotés de 1 à 3).

Choisir des meubles bas

Si la chambre à coucher vous paraît encore petite, c’est peut-être à cause de cette grande armoire qui va du sol au plafond. Pour donner une sensation d’espace, il faut bannir ces meubles qui grimpent jusqu’au plafond. Pour ouvrir visuellement l’espace, privilégiez le mobilier bas. Certes, vous n’aurez pas assez de rangement, mais organisez-vous et faites le tri. L’effet sera encore plus optimal si vous prenez un mobilier dans une couleur claire.

Opter pour un revêtement sol uni

Lorsqu’on a la salle à manger et le salon dans une même pièce, pour délimiter les deux espaces, on peut se permettre d’installer deux types de revêtement sol. Ce choix pourrait casser la sensation d’espace. Pour ne pas avoir deux petits espaces, il serait judicieux de rester sur un seul revêtement sol et de préférable, un revêtement dans une couleur claire et unie. Vous pouvez par exemple opter pour les parquets à longues lames. Dans une petite chambre à coucher, vous pouvez choisir la moquette.

Alléger les fenêtres

Pour agrandir une pièce visuellement, vous devez faire attention à la luminosité. Il ne s’agit pas uniquement de multiplier les éclairages, mais aussi d’alléger les fenêtres. Oubliez donc les rideaux lourds et les tentures en velours épais. Ils peuvent être esthétiques, mais cet esthétisme peut aussi être au rendez-vous avec les légers voilages en coton ou en lin dans une couleur claire. Dégagez également tout élément qui se trouve devant la fenêtre.

Choisir les bons matériaux

Les experts en aménagement intérieur conseillent souvent de choisir des couleurs claires pour agrandir visuellement une pièce. Ce choix ne doit pas uniquement se limiter à la couleur des murs ou encore à la couleur des accessoires décoratifs. Il doit être poussé dans les matériaux. De ce fait, bannissez de la pièce les matériaux bruts et imposants comme l’acier, le bois brut et le cuir noir. Préférez les meubles laqués blancs, le mobilier en rotin ou les meubles en bois clairs. Vous verrez que ce choix agrandira directement la pièce sans pour autant repousser les murs.

Quelles sont les normes à suivre pour jouir d’une installation électrique fiable ?

Pour votre sécurité et celle de vos biens, votre installation électrique doit répondre aux exigences de la norme NF C 15-100. Pour optimiser l’aménagement de votre cuisine par exemple, il faut une installation électrique performante et conforme aux normes pour éviter les accidents. En effet, il s’agit d’une pièce à risques, accueillant un grand nombre d’appareils électroménagers. Pour votre sécurité, votre installation électrique doit être constituée d’un disjoncteur de branchement adapté, d’un tableau de répartition équipé de disjoncteurs divisionnaires, de fils conducteurs en parfait état, et d’une prise terre de bonne qualité. Pour qu’elle soit réglementaire, il faut également que ses raccordements soient protégés par des gaines ou des baguettes, surtout au niveau des pièces à risque comme la salle d’eau, les toilettes, et la cuisine. Évidemment, pour garantir sa bonne marche, elle doit disposer d’un contacteur, d’un tableau, et d’un compteur.

Qui peut s’occuper d’une telle installation ?

Vous devez faire appel à un électricien qualifié pour bénéficier d’une installation électrique sécurisée et performante. En tant que professionnel, il est en effet le seul à maîtriser la conception et la mise en place de votre réseau électrique, en se basant sur un plan de montage préalablement établi. L’envergure de sa tâche dépend surtout de la taille de votre maison et du nombre d’appareils que vous utilisez. Pour ce qui est du coût des travaux, celui-ci est calculé en fonction des besoins du bâtiment où l’installation est effectuée. Pour avoir ainsi une idée du montant total à prévoir, il est préférable de soumettre une demande de devis électriques sur Hager.fr ou auprès du prestataire que vous aurez choisi. Un devis de travaux électriques ne vous engagera en rien, mais il vous permet plutôt de connaître le coût relatif à votre projet.

Focus sur l’éclairage

Jugé facile et relégué bien souvent au dernier plan, l’éclairage d’une cuisine a beau être le gage de son confort, il n’en demeure pas moins une source d’erreur dans la décoration de la pièce.
On a toujours tendance à trop éclairer la pièce. Ce qui peut mettre en péril sa convivialité et sa fonctionnalité. D’autant plus que le style le plus en vogue est celui avec une lumière tamisée. Pour éviter de tomber dans le panneau, l’astuce est simple, mettez des éclairages que sur des points importants comme le plan de travail, le bar, le four et une petite touche au sol pour pouvoir y voir clair dans toute la pièce.

Trop de vintage tue le vintage

Certes, le vintage est en vogue actuellement. Mais il ne faut pas pour autant avoir la main lourde en accessoire de ce style dans votre cuisine. Surtout s’il s’agit d’un espace restreint, le style peut vite devenir lassant.
Le vintage en petite touche dans la cuisine ? Cela se traduit par le choix de coloris plus voyants et originaux, par des poignets de portes uniques sen leur genre, etc. Pour ce qui est du style des portes, de placards et des autres accessoires d’ameublement à utiliser, la modernité est de mise.

La couleur : comment choisir ?

Le choix des couleurs à utiliser dans la cuisine peut aussi rapidement devenir problématique pour certains. On ne sait plus vraiment où donner de la tête.

La règle est pourtant simple, en premier lieu, vous devez avoir le même revêtement de sol dans toute la maison. L’habillement des murs doit aller avec ce dernier, et il en sera de même pour celle de la cuisine. Les portes de placards peuvent toutefois devenir des notes de couleur.
Éviter le total look blanc. Avec un éclairage mal jugé, cela peut être néfaste. Utilisez plutôt des tons plus neutres comme le gris, le marron, le beige, etc.

Texte 2

Les murets

La hauteur d’un muret varie entre 0,4m et 1m. Il apporte un relief au jardin en séparant deux plans horizontaux. La beauté de cette structure sera mise en valeur par des végétaux de rocaille, on obtiendra ainsi un mur fleuri. Le faîte du mur quant à elle peut être aménagé pour accueillir d’autres plantes. Pour ce faire, recouvrez-le de dalles disjointes. On déposera dans les emplacements entre les dalles des poches de terre recouvertes en partie par des pierres plates.

Les dallages

Les dallages peuvent remplacer les allées classiques. Ce qui épargne les impatients d’un entretien constant. Contrairement à l’allée proprement dite, des dalles isolées entourées d’herbes disposées sur la pelouse auront l’avantage de ne pas couper abruptement le jardin en deux. L’homogénéité du jardin sera ainsi conservée. Les dallages offrent également un large choix de formes, selon les goûts de chacun. Les dalles peuvent avoir des contours irréguliers, comme parsemés dans le jardin simulant un sentier vagabond. Il faut veiller seulement à ce que le style soit en raccord avec l’architecture de la maison, les autres constructions et accessoires dans le jardin.

Les escaliers

Le style des escaliers peut également varier selon les goûts et leur disposition dans le jardin. Ainsi, on peut avoir des escaliers circulaires en brique ou des marches classiques en maçonnerie. Des rondins maintenus à l’aide de petits piquets feront également l’affaire. Notez qu’une marche doit faire 12 à 14 cm de hauteur, et sa largeur doit mesurer au moins 30 cm. La beauté des escaliers sera rehaussée par les arbustes qui les bordent, les rampes ou les murs fleuris à leurs abords.